Installé sur cette avenue que l’on avoue comme la plus belle du monde, Mūn invite au voyage entre Asie fantasmée et vertige parisien.
On y découvre le bar, vêtu de marbre panda. La Coupole et ses banquettes de velours, circulant entre Chine et songe. Le salon Opium, plus intime. Le sushi-bar, bulle pop et nippone avec sa verrière fleurie. La Grande Salle, majestueuse. Et enfin la Terrasse, qui domine les Champs-Elysées, de Concorde à l’Etoile.
Dans l’aspiration comme dans l’inspiration, la cuisine de Mūn accompagne cet environnement des cîmes. Celle-ci se veut passerelle contemporaine entre le Japon et le citadin : tataki, gyoza, california, tempura, yakitori au charbon de bois mais aussi tartare et carpaccio revus en façon d’Archipel.
In the Mūn for love…